L'agriculture synergique: le réseau faune-flore-fonge.

Les applications en permaculture:
Réunir les conditions qui favorisent la synergie des plantes, des animaux et des micro-organismes du sol (bactéries, mycélia, acariens, etc...) optimise la bonne santé, la productivité, la communication, les échanges, l'autonomie et la pérennité du biotope des cultures.

Cette pratique culturale repose sur l'intelligence des organismes à interagir pour subsister au mieux dans un environnement. 

Le succès de cette forme de collaboration repose sur l'échange, la délégation, le mutualisme, la réciprocité,  la symbiose, dans laquelle les organismes participent activement. L'interaction crée des conditions augmentées, en quantité et en qualité supérieures à la somme de l'ensemble des propriétés des organismes pris isolément. Les organismes entre eux agissent donc comme des catalyseurs. Plutôt que la voie de l'autonomie individuelle, la vie optimale des plantes s'oriente depuis des millions d'années vers l'interdépendance, avec de nombreux systèmes relais, d'adaptation, de régulations et même d'alternatives. Ces choix ont permis aux organismes vivants des forêts de traverser les millénaires.
illustration du Carbonifère.
Les plantes sauvages sont donc individuellement "plus faibles", mais collectivement "plus fortes" car
elles délèguent une partie de leur vie à d'autres organismes pour tirer profit au mieux des possibilités locales, notamment en situation de stress, chacun des organismes du réseau s'attribuant des missions dans lesquelles ils performent intrinsèquement. Si vous cultivez des plantes sauvages isolément, "extraites" de leur biotope organique et social, elles ont toutes les chances de mourir car elles seront désorientées et désociabilisées. 


En condition naturelle sauvage, l'énergie des plantes est prioritairement distribuée dans la construction et le maintien du réseau, avant même leur propre développement ! C'est dire l'importance de considérer et d'encourager les bonnes conditions de développement de ces interactions faune-flore-fonge.

La transposition du paradigme de l'individualisme et de l'objectivisation du vivant a limité les recours en monoculture intensive. Ce modèle est non efficient sur le long terme et obsolète. Changer et évoluer est une nécessité.

>>> La culture synergique réconcilie les plantes cultivées avec leur génétique sociale.

>>> L'application des principes de l'agriculture synergique en permaculture devrait réconcilier les plantes avec leur faculté de communication et d'organisation pour leur vie, autonome par rapport à l'Homme et co-dépendante par rapport aux organismes de leurs environnement immédiat. Cultiver devient donc des actes de développement des conditions favorables et leur maintenance, et non plus une domestication du vivant. Dans une approche intégratrice, les cultivateurs-trices pourront s'intégrer à leur tour dans ce système d'échange symbiotique en jouant un rôle positif.

>>> En polyculture, régénérer les biotopes sauvages des plantes cultivées, qui partagent toutes des gènes avec leurs ancêtres sauvages, c'est participer à créer des conditions optimales pour les plantes et le travail de l'agriculteur-trice. C'est une révolution dans le métier et la pratique agricole, et une révolution des mentalités de l'Homme envers la Nature en acceptant d'y retrouver sa place intrinsèque.

Cette logique peut être étendue à d'autres domaines dans les relations sociales humaines, comme modèle d'éveil des potentiels collectifs des individus en famille, a l'école, en entreprise, en commerce, en énergie, en communication etc...



Un changement de paradigme
La vision séquentielle d'un organisme complet aux frontières définies n'est plus pertinente. Cette vision obsolète du Vivant correspond à une vision linéaire et binaire du rapport vie-mort.

La vision synergique du vivant invite à considérer les organismes, non pas comme des possessions individuelles d'entité, mais comme une collaboration unique et perpétuellement composée d'une multitude d'organismes vivants; ces communautés elles-mêmes évoluant selon ce principe de multi-réciprocité des ressources directes, continues, indirectes ou différées. On se rapproche plutôt d'un écosystème interactif entre plusieurs univers. 

C'est la dynamique des cycles des organismes et des matières qui constitue des déséquilibres harmonieux dans lesquels tous les participants sont favorisés à court, moyen ou long terme. Les rythmes semblent être à la fois alternatifs et continus. Les saisons et les variations jour/nuit semblent répondre à des dynamiques réciproques ou proches.

une révolution scientifique
Les progrès de la science ouvrent de nouveaux domaines d'approches
grâce à la physiologie végétale, la microbiologie, l'épigénétique et la neurobiologie végétale.

Chez un organisme vivant, seuls 15% des gènes sont déterminants.
Le comportement a la capacité d'activer, de moduler ou d'inhiber 85% des gènes.
(source : Joël De Rosnay)


C'est une révolution dans le domaine de la biologie.


Les facteurs déterminants sont:
les ressources nutritives, 
l'activité de l'organisme, 
la gestion des facteurs stress, 
l'émotion positive dans les actions ,
la sociabilité. 

Les choix du Vivant
Sur le plan génétique, chaque organisme est le témoin unique 
d'une réponse évolutive sur Terre.

Refuser la hiérarchie linéaire ou pyramidale traditionnelle ouvre de nouvelles perspectives. 
De nouvelles voies de recherches en Intelligence végétale, aussi appelée "neurobiologie végétale", construisent doucement un nouveau paradigme scientifique en biologie.

Saviez-vous qu'e l'ADN d'un grain de blé est deux fois plus complexe que celui de l'homme? que la lambrusque, l'ancêtre de la vigne, existait déjà avant l'apparition de l'homme? que la daldinia , un champignon, a connu l'époque des dinosaures? qu'une limace de mer peut synthétiser de la chlorophylle? qu'un pétunia peut encoder de l'ADN humain et produire de l'hémoglobine (plantimal pétunia Kac)? qu'une fraise peut encoder de l'ADN d'un poisson arctique pour résister au gel et devenir bleu électrique?


Si une telle transversalité peut s'opérer chez des organismes vivants, qu'ils s'agissent d'organismes vivants naturellement présents ou de manipulations génétiques viables, cela peut signifier que nous devons avoir bien plus en commun que nos différences
et que nos capacités d'adaptation sont bien plus grandes que nous pouvons l'imaginer.




 Notre pratique expérimentale 

En regroupant les espèces fidèles aux arbres fruitiers et aux légumes dans leur milieu sauvage,
nous recréons des symbioses naturelles entre faune, flore et fonge.

Une harmonie flore-faune-fonge
Ces suggestions de plantes fidèlement associées dans leur biotope sauvage permettent d'adapter les associations de fruits et de légumes dans les cultures et de les diversifier. Le but est de recréer une harmonie pérenne et dynamique dans les forêts jardins et les vergers entre plantes, animaux et mycélia.

s'adapter localement
Pour chaque espèce, notamment pour les herbacées, il existe des dizaines voir des centaines de variétés champêtres et sylvestres, maritimes ou continentales, méditerranéennes ou montagnardes... Il conviendra à chacun d'adapter au mieux son phytotype de référence en fonction des conditions locales de son site.

penser globalement
L'équilibre des biocénoses est étroitement lié à des stratégies d'évolution efficientes et écologiques que la Nature développe depuis des milliers d'années. Elles ont fait leur preuves au travers des adaptations climatiques et génétiques.

Sont-elles optimales?
Si on considère que la Nature est bien faite et intelligente, oui.
A nous, Humains, de s'intégrer dans ce processus et de retrouver la place qui est la nôtre:
dans la Nature.

En optant pour une démarche culturale dans la continuité de ces évolutions,
nous transmettons aux générations futures des terres vivantes,
  des espèces végétales, animales et fongiques en pleine santé.
Nous participons à un héritage commun.

qu'est-ce qui change?
Mon objectif est d'essayer de redécouvrir le biotope sauvage de référence des espèces cultivées et des espèces sylvestres de France pour proposer une régénération de biotope et de leurs biocénoses flore-faune-fonge dans les cultures et les vergers. Et de proposer une évolution des designs agricoles vers un design de forêt jardin sur la base des relations symbiotiques sauvages.

Nous développons une approche de phytosociologie appliquée dans le but
de régénérer les biotopes des potagers et des vergers traditionnels.

Pour que CULTIVER rime avec COLLABORER plutôt que DOMESTIQUER.
C'est une invitation à réconcilier l'agriculture avec la Forêt et le Sauvage.

Une pratique plus aboutie est capable de créer des biotopes augmentés sur des petites surfaces
grâce à la pratique d'associations synergiques innovantes et catalysatrices
qui désamorcent les facteurs stress pour les réactiver en ressource positive.
Cela passe par une compréhension profonde des interactions sociales des plantes entre elles et avec leurs partenaires, et surtout de leur capacité de communication et d'apprentissage.

C'est intégrer l'Intelligence Végétale au delà d'une vision mécanique ou déterministe de la biologie cellulaire, sans verser dans des considérations mystiques ou anthropomorphiques.
Les nuances sont parfois minces, d'un côté comme de l'autre.

 Notre hypothèse de culture: 
LA REGENERATION DE BIOTOPE
En encourageant la réalisation des 5 processus synergiques, 
l'accès aux ressources nutritives, la participation active des organismes dans une culture en extérieure, l'encouragement des réseaux et des mécanismes sociaux de la plante, la limitation des facteurs stress et les sensations positives chez les plantes,
nous recréons des conditions qui catalysent les conditions optimales 
d'une vie de pleine santé, d'épanouissement et de bonheur, 
pour nous, comme pour les plantes, les animaux et les micro-organismes.

En intégrant l'ensemble de ces paramètres de l'épigénétique et de la phytomycosociologie appliquées à la permaculture, la régénération de biotope sauvage en agriculture prend tout son sens.

Cette démarche a pour vocation de permettre aux 5 facteurs épi-génétiques déterminants la santé, l'autonomie, la sociabilité et la vie optimale d'un organisme de se réaliser pleinement.

Une pratique culturale optimale doit être en mesure de permettre à la plante, chez les plantes sauvages comme chez les plantes cultivées non hybrides, d'activer, réactiver ou d'inhiber des mécanismes innés et acquis. C'est reconnaître, soutenir et favoriser les processus d'apprentissage évolutif des plantes et participatifs avec les autres organismes vivants du biotope des plantes. Les plantes et les organismes peuvent ainsi apprendre à réagir au mieux aux stimulis positifs de leur environnement comme aux facteurs stress d'origines climatiques ou anthropiques, et à activer, solliciter, réguler des mécanismes d'adaptation, de réponses, de collaboration, de délégation et de régulation.

La sociabilisation des organismes faune-flore-fonge en forêt, et donc dans une forêt jardin aussi, semble organiser en permanence une distribution, redistribution et rétrocession de ces ressources en favorisant l'ensemble des organismes à court, moyen ou long terme. Chaque organisme semble présenter des processus endogènes et exogènes de croissance, de sénescence et de régénérescence.

UN DESIGN INNOVANT
Le design du biotope est construit comme un écosystème vivant, évolutif et régénératif. On cultive en relief et avec une perspective sur plusieurs dizaines d'années. La plantation intègre la complexité des réseaux d'organisation des organismes vivants dans le modèle de la forêt, de la canopée à la rhizosphère. Chaque culture intègre les spécificités locales cherchant à développer le potentiel de la faune préexistante sur son terrain pour ensuite l'élargir, et non une imposition de culture péremptoire et potentiellement inadaptée. Toutes les ressources sont gérées en circuit fermé, ou assimilées et restituées d'une manière ou d'une autre à travers des cycles régénérateurs de la matière.

La synergie des interactions est quantitativement et qualitativement plus favorable aux organismes que la somme de leurs aptitudes prises isolément. C'est la démonstration de l'effet catalyseur de la sociabilisation des organismes vivants et du rôle majeur de l'application de la Phytsociologie et de la Mycosociologie en Permaculture.

Reconnexion Homme-Nature
Une approche transversale permet à l'humain, même sédentarisé, de retrouver ce lien participatif avec le Vivant en se reconnectant avec la Nature.

La fin de la domestication du Vivant accompagnera ce changement de paradigme. Cette éthique de vie intègre la reconnaissance de tous les organismes vivants comme des êtres sensibles, intelligents et sociables, au delà de tout spécisme. L'évolution de la vision de l'Homme séparé de la Nature vers un Homme intégré à la Nature est une condition sine qua non vers cette évolution du Monde. L'Homme et la Nature se transforme alors en l'Homme est Nature. C'est dépasser des siècles de conservatisme religieux, de spécisme monarchique de Linné, du déterminisme Darwinien et d'évolutionnisme moderne. C'est innover sans pour autant renier les avancées scientifiques que ces théories ont aussi apporté mais en les désacralisant et en le contextualisant.

La culture synergique doit se faire au delà de tout conflit d'intérêt économique. La priorité est donnée à la plante et au respect des biocénoses de son environnement en toute occasion. Cela participe ainsi à favoriser la biodiversité génétique des cultures et à lutter contre l'érosion génétique. C'est une prise de conscience des limites de l'Homme sur Terre. Cette pratique inscrit les droits et aussi les devoirs de l'agriculteur-trice par rapport à la Terre et au Vivant.

Accompagner un changement de paradigme scientifique et agricole
Cela demande une mise en perspective du rôle de l'agricultueur-trice dans un système de culture. En agriculture synergique, les gestes de l'Homme sont alors des actes minimes favorisant des processus naturels autonomes, régénératifs ou de maintenance des conditions optimales pour la plante.

Cette libération du temps de travail et l'amélioration des conditions de travail dans le milieu agricole va permettre une meilleure intégration sociale des travailleurs agricoles et une revalorisation des métiers. C'est dépasser des millénaires de tradition précaire en agriculture. C'est intégrer les effets positifs du confort que le modernisme nous apporte. Et inviter des technicités scientifiques à rejoindre des technicité de terrain.

La transmission trans-générationnelle favorise d'avantage cette condition, sachant que chaque activité agricole laissera derrière elle une terre plus riche, plus productive, mieux entretenue et plus vivante qu'à son arrivée. La première génération à relancer ces processus du Vivant devant s'impliquer d'avantage, physiquement, émotionnellement et économiquement. A la vue des dégâts que les générations des 50 dernières années ont occasionnées sur Terre, nous devons bien ça aux générations futures!

C'est une révolution agricole, industrielle et civilisationnelle, qui détrône l'homme de sa toute puissance dominatrice sur une nature objectivée. La plante redevient un organisme vivant actif de sa propre vie. L'homme s'émancipe et devient un être vivant collaboratif: il réintègre une place qui lui est propre dans la biocénose animale de la plante, comme pourrait l'être un renard, un sanglier, un chevreuil, un oiseau, une limace, un mycélium, un acarien... La relation homme-plante devient alors mutualiste voir symbiotique selon le degré et la qualité de la relation qu'il entretient avec les organismes vivants. C'est un nouveau rôle à jouer et une révolution de paradigme à opérer. La Nature n'est plus l'objet de la propriété de l'Homme qu'il doit domestiquer. La Nature est l'environnement dans lequel et avec lequel il vit en harmonie.

Cette évolution sociale et scientifique ouvre une révolution des possibles dans l'organisation de l'Agriculture et du maillage territoriale. Nous proposerons prochainement des designs de régénération agricole intégrant une transversalité des métiers et des pratiques culturales et d'élevage; qui s'accompagne simultanément d'une mutation de nos pratiques agricoles et territoriales, d'une densification du maillage rural, d'une régénération du régime alimentaire d'homo sapiens, et d'un soutien de la population dans ces grandes mutations à venir.

Les transitions peuvent être douces lorsqu'elles sont source de créativité et de bien-être; lorsqu'elles accompagnent des processus régénérants, collectifs et partagés, et non la défense de monopoles d'intérêts minoritaires ségrégationnistes. C'est la différence entre une r'évolution par la transformation et une révolution par la violence.

photo internaute.
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La forêt, l'environnement de référence

forêt substropicale au Costa Rica
les dernières forêts primaires en Europe:


Qu'est-ce qu'un biotope?

Qu'est-ce qu'un phytotype?

carte phytosociologique du cnrs http://cybergeo.revues.org/docannexe/image/24688/img-3.jpg
base de données botanique: Tela Botanica, Plants for a future.
base de données phytosociologiques SOPHY plantes, SOPHY Phytotype
base de données bryosociologique /Base de Données Nomenclaturale des Bryophytes d’Europe BDNBE (mousses, lycopodes et fougères): bryophytes de france.orghttp://www.andrewspink.nl/mosses/key.htm
Inventaire national du patrimoinde naturel : http://inpn.mnhn.fr/

L'observation des plantes sauvages, la collecte de semences sauvages.


La culture des semences maraîchère, botanique et fongique



Tous les jardins botaniques sont à même de fournir de semences à titre de conservation, renseignez vous.

La mycorhization


Le design, l'aménagement permacole

photo internaute
La marche à suivre: du général au détail.
Faites un tour d'horizon des ressources humaines, énergétiques, économiques, matérielles et botaniques in situ. 
Observer et identifier les potentiels, "les perles rares", les opportunités, les facteurs dominants, limitants et les facteurs risques.
Optimisez les ressources et transformer les contraintes en avantage. 
Proposer un système intégré, intégrant et efficient qui optimise ces paramètres. 
Imaginez un système économe et un habitat proche de l'autonomie en valorisant les ressources disponibles, notamment énergétiques. Trouvez des systèmes économiques et ingénieux pour les ressources manquantes.
Pensez un système intégré de toute matière organique, production, consommation, déchets.
Imaginez un design à partir du lieu et dessinez une implémentation proche du biotope d'origine, qui sculpte et met en valeur le potentiel du terrain et de la vie in situ; ça doit être facile, couler tout seul, évident, pour vous, pour vos collaborateurs comme pour les plantes.
N'imaginez pas un système à contre courant, qui transforme tout, c'est contre productif.

zoning d'activité et de maintenance
zoning de temporalité saisonnière, annuelle et générationnelle
zoning pédologique, topographique et hydrographique, 
zoning microclimatique: températures, eau, air, feu
zoning phytosociologique, phytotype
zoning mycosociologique
zoning zoochorique
cycle de l'azote
cycle de floraison
cycle de pollinisation
cycle de maturation
cycle de dissémination, zoochorie
cycle de carbone
cycle de dormance

L'implémentation sur le terrain
Notre projet expérimental en forêt commence en 2015; nous serons en mesure de montrer des photographies de notre implémentation dans quelques mois. Voici quelques illustrations sur internet de plusieurs modèles que nous allons combiner entre eux, et en intégrant notre analyse des biotopes phytosociologiques des plantes sauvages.

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La gestion des ressources



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La récolte-cueillette.



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références:

carte de la végétation du CNRS http://cybergeo.revues.org/24688
centre régional de phytosociologie, Conservatoire botanique National de Bailleul http://www.cbnbl.org/ 
la bibliothèque botanique et phytosociologique de bailleul http://www.cbnbl.org/ressources-documentaires/La-bibliotheque-botanique-et/ http://www.cbnbl.org/ressources-documentaires/Digitale2-une-base-de-donnees
visite virtuelle du jardin conservateur de bailleul par nicolas lalau http://www.nicolaslalau.net/360/cbnbl/visite_jps/visite_virtuelle/
http://www.universalis.fr/encyclopedie/vegetal-phytosociologie/
http://www.ecosociosystemes.fr/phytosociologie.html
http://www.organicagcentre.ca/NewspaperArticles/na_fueling_soils_f.asp
http://www.organicagcentre.ca/NewspaperArticles/na_chantal_hamel_nb_f.asp
1ère conférence de Kyusei natural farming with effective micro organism Asie 1989 compte rendu en pdf ici: http://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PNABK540.pdf
4ème conférence de Kyusei natural farming with effective micro organism en Europe 1995: http://www.teraganix.com/4th-Conference-book-p/6004.htm
kyusei natural farming ave EM - le manuel en pdf ici http://www.apnan.org/APNAN%20Manual.pdf

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